Lorsqu’il est sujet du Coronavirus, les chiffres accrus de décès et de malades sont les principales images qui nous viennent en tête. Partout dans le monde, la maladie gagne de l’ampleur paralysant toutes les activités dans chaque pays. Pour limiter la propagation, l’État a décrété l’état d’urgence et a adopté par la suite une technique de confinement figeant à son tour la majorité des activités commerciales et économiques. Les diverses entreprises ferment leur porte par respect des règles de confinement et de distanciation. Suite à cette mesure drastique, de nombreux salariés se trouvent au chômage technique ou sont obligés de prendre des congés pendant une durée indéterminée.

Le télétravail, une solution ingénieuse, mais incomplète

Afin de maintenir un certain flux dans leur métier en cette longue période de confinement, certaines sociétés en France se lancent dans le télétravail. De cette manière, elles essaient de maintenir leur production autant que possible en assurant la sécurité sanitaire de leurs employés. En travaillant depuis leur domicile, les salariés n’ont pas besoin de se déplacer, réduisant ainsi les contacts extérieurs et les risques de contamination. Cependant, il faut savoir que ce genre de changement soudain n’est pas facile à entreprendre, et cela bien plus lorsqu’il s’agit d’une situation d’extrême urgence.

Pour que le travail à distance réussisse, il existe quelques matériels nécessaires qui doivent être aux portées de chaque personnel dont les plus importants sont :

  • un ordinateur ;
  • un téléphone ;
  • une connexion internet.

Les employeurs ont alors la responsabilité de fournir ces matériels à leurs collaborateurs et de mettre en place un système d’organisation bien stricte pour s’assurer de leurs motivations et les garder bien actifs.

Bien que cette nouvelle alternative semble avoir porté ses fruits, elle demeure incompatible à certains types de métiers, ce qui pose encore des problèmes.

Les licenciements approchent, le gouvernement français tente de trouver une issue favorable

Si l’on parle des secteurs textile, agroalimentaire ou BTP, on sait tous que leurs champs d’action ne pourront jamais s’exercer en télétravail. Toutefois, notons qu’en absence de production, le rabais des revenus des entreprises mères sera considérable. C’est l’une des raisons qui les obligent à avoir recours au licenciement de plusieurs ouvriers, une situation qui menace de détruire la vie de non-pas seulement des milliers, mais des millions de Français. Afin d’éviter le pire, le gouvernement tente d’établir un arrangement avec les entreprises en les encourageant à appliquer le chômage partiel plutôt que le renvoi direct.

Le chômage partiel permet d’encaisser une partie de la rémunération mensuelle

En principe, le chômage partiel correspond à la suspension du contrat de travail et non à son abolition totale. De cette manière, le titulaire du contrat perçoit toujours l’équivaut de 70 % de son salaire brut calculé suivant les honoraires de travail habituels.

Le coronavirus a frappé l’intégralité des secteurs d’activité dans le monde : les commerces sont en état d’arrêt, les transports terrestres, aériens et maritimes sont réduits, les travaux de construction sont en suspens… L’économie mondiale fait face à une crise imminente malgré les efforts de l’État et des chefs d’entreprises.

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